barrières bureaucratiques ralentissant la prescription et la disponibilité de médicaments à base de cannabis dans les systèmes de santé.
n’a pas mandaté d’expert à Vienne, ni pris l’initiative de consulter la société civile ou même scientifique, et encore moins de revendiquer la fierté des savoirs algériens dans
la pandémie de la covid-19 révèle plus que jamais que la science, la médecine, mais aussi le rôle de l’OMS, sont d’importance majeure, l’Algérie devrait rafraîchir sa diplomatie,
rejetant la science, en votant non à la médecine, en refusant sa propre histoire, sa propre singularité, ses propres traditions.